Posts tagged ‘Humour’
Compter
Il y a trois sortes de personnes : ceux qui savent compter et ceux qui ne savent pas.
Benjamin Dereca
Intelligence
Ca fait toujours bien d’avoir une andouille dans un groupe. Ca rend tout le monde plus intelligent.
Christophe Aleveque
Drôle d’époque
Drôle d’époque. On se nourrit de vide et on est de plus en plus gros.
Christophe Alevêque
Computer says no!
Pour ceux qui ne connaissent pas la formidable série « Little Britain », voici un court extrait de sa déclinaison USA
Mémoire
Le plus dur pour les hommes politiques, c’est d’avoir la mémoire qu’il faut pour se souvenir de ce qu’il ne faut pas dire.
Coluche
Confiture
Chaque fois qu’on prend les socialistes la main dans le pot de confiture, ils décident d’interdire la confiture.
Serge Kubla – MR
Bruit
D’après les sondages, 60% des gens ont été dérangé par le bruit dans la journée. Les 40 autres pourcents n’ont pas entendu la question.
Christophe Aleveque
La peur
Il faut que les gens aient peur. Parce que lorsque les gens ont peur, on en fait ce qu’on veut.
Si un décérébré peint une croix gammée dans un cimetière Juif, le lendemain, à la une du journal, on lit « La France est raciste et antisémite ». A croire qu’on s’est cotisé pour acheter le pot de peinture.
Christophe Aleveque
Diagnostic
Aux USA, les médecins sont beaucoup plus compétents que chez nous. Le médecin te fait un diagnostic en une minute: il appelle ta banque. T’as pas d’argent, t’es pas malade.
Patrick Timsit
Consommation
Si j’ai bien compris, le mot d’ordre actuel c’est: « Ne vous servez plus de votre voiture mais …. continuez d’en acheter ».
Christophe Aleveque
Les pauvres
Devenir riche avec l’argent des pauvres, humainement, c’est presque impossible. C’est beaucoup trop long.
Patrick Timsit
La liberté
Arrivé aux USA, je suis allé visiter la statue de la liberté. La Liberté, elle a sa statue là-bas. C’est là-bas qu’elle est enterrée.
Patrick Timsit
Un trader de singes
Une fois, dans un village, un homme apparut et annonça aux villageois qu’il achèterait des singes pour 10 $ chacun.
Les villageois, sachant qu’il y avait des singes dans la région, partirent dans la forêt et commencèrent à attraper les singes. L’homme en acheta des centaines à 10$ pièce et comme la population de singes diminuait, les villageois arrêtèrent leurs efforts.
Alors, l’homme annonça qu’il achetait désormais les singes à 15$. Les villageois recommencèrent à chasser les singes.
Mais bientôt le stock s’épuisa et les habitants du village retournèrent à leurs occupations.
L’offre monta à 20$ et la population de singes devient si petite qu’il devint rare de voir un singe, encore moins en attraper un.
L’homme annonça alors qu’il achèterait les singes 50$ chacun. Cependant, comme il devait aller en ville pour affaires, son assistant s’occuperait des achats.
L’homme étant parti, son assistant rassembla les villageois et leur dit : « Regardez ces cages avec tous ces singes que l’homme vous a achetés. Je vous les vends 35$ pièce et lorsqu’il reviendra, vous pourrez les lui vendre à 50$. »
Les villageois réunirent tout l’argent qu’ils avaient, certains vendirent tout ce qu’ils possédaient, et achetèrent tous les singes.
La nuit venue, l’assistant disparut.
On ne le revit jamais, ni lui ni son patron ; que des singes qui couraient dans tous les sens.Bienvenue dans le monde de la bourse !
Joyeuses funérailles – Frank Oz
Une véritable bonne surprise. Comment utiliser un tel sujet (les funérailles d’un pater familias dans la bougeoisie british) pour en faire un film hilarant. A peu près toutes les formes d’humour sont abordées (du trash jusqu’au burlesque en passant par l’absurde) sans pour autant jamais tomber dans la vulgarité ni le manque de sensibilité.
Titeuf: Le sens de la vie – Zep
Tout le monde le connait, je ne vais pas parler de Titeuf. Le dernier opus est très bien comme le reste de la série.
Ce qui m’intéresse, c’est que Titeuf a été recalé par les « professionnels de la profession ». Notamment le ‘révélateur de nouveaux talents’ Spirou magazine. Un exemple à ne pas suivre. Je suis loin d’être aussi versé dans les sciences éditoriales que les pontes de chez Spirou mais j’ai ri dès la première lecture de Titeuf. Mon fils aussi. Je sais que ce qui se vend le mieux n’est pas forcément ce qui en vaut la peine puisqu’un bon plan marketing compense largement un talent déficient. D’un autre côté, j’ai l’impression qu’un regard trop technique fait perdre le sens du plaisir de la lecture. Le nombre de films populaires descendus par la critique fait écho au nombre de livres illisibles encensés par la presse.
Il est clair qu’il ne faut pas aveuglément suivre les goûts préétablis sous peine d’un lissage culturel irréversible. Mais qu’un professionnel de la bande dessinée n’ai pas ri aux premières planche de Titeuf me sidère.
Un autre réflexion que m’inspire Titeuf est le respect de l’auteur pour l’intelligence de ses lecteurs. Dépassant les blagues zizi caca, il a l’audace de d’aborder de thèmes comme le chômage, la dépression, l’amour. C’est assez rassurant si on compare avec la ringardise ou la totale absence de profondeur des BD destinées à la jeunesse.
Hu is the president of China
Absolument hilarant.
Au-delà de la qualité du montage et de sa drôlerie, c’est intéressant de voir comme on peut se moquer de la -possible- bêtise d’un dirigeant alors qu’il y a tout un foin qui est fait en France parce qu’un vieil anar a écrit que le fils Sarkozy irait loin dans la vie s’il se convertissait au judaïsme.
Je dois reconnaître que ces débats post dreyfussards me laissent assez interloqué et indifférent. Je les suis comme je suis une messe. Je ne comprends rien au rite mais je comprends encore moins pourquoi tant de gens le trouvent si important.
Pas de noël cette année – John Grisham
Un petit roman. Presqu’une nouvelle. Un couple décide de faire l’impasse sur Noël et ses excés. Pas de sapin, pas de dinde, pas de bonhomme illuminant le toit, pas d’étrennes, etc … Ils se mettent la communauté à dos, se terrent pour éviter la pression sociale. C’est souvent drôle. Parfois burlesque mais ça laisse un goût d’inachevé. Tout se passe comme si l’auteur avait lui-même eu peur d’aller au bout de son propos et d’en faire un vrai pamphlet contre la société de consommation.